Le dernier rapport du GIEC le dit sans ambages : les personnes en situation de pauvreté ne sont pas en mesure de s’adapter suffisamment au réchauffement, ce qui met en danger leur sécurité alimentaire. Les responsables de la crise climatique ont ainsi l’obligation de les soutenir, en promouvant par exemple l’agroécologie et les énergies renouvelables.
- Contribution de Stefan Salzmann de l’Action de Carême
- Communiqué de presse de l’EPER